Imaginez que la narratrice de ce roman aurait mille ans, qu’elle aurait engendré un fils qui aurait aujourd’hui près de cinq cents ans et que celui-ci, à son tour, ait donné naissance à une fille qui aurait plus de deux cents ans. Du Moyen Âge aux massacres des guerres coloniales du Nouveau Monde, d’Elvire à Hugues à Yukiko, mille ans d’histoire défilent au rythme du cœur. «"La vie empruntée" est un roman magnifique…» (Réginald Martel, La Presse)
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