

Feuilleter ce livre
Dans les médias
Confessions touchantes d’une femme au destin parsemé d’échecs, de regrets et de victoires, ce récit sans complaisance propose un point de vue intime sur la maternité et les déchirements qu’impliquait la volonté d’exister comme femme et comme intellectuelle à une époque de domination masculine.
– Déclaration du jury, prix Émille-Olivier
L’intérêt de cet ouvrage réside aussi dans sa forme inattendue, hybride. […] À la limite, l’ensemble pourrait ressembler à des notes typographiques, livrées en accéléré. Ce qui colle tout à fait au sentiment d’urgence dont j’ai parlé. Mais qui n’enlève rien au travail d’écriture soigné.
– Danielle Laurin, Le Devoir
C’est tout un parcours de battante, tiraillée entre culpabilité et désir de réalisation, qu’elle [Marguerite Andersen] nous invite à lire dans La mauvaise mère, en lice au Prix des lecteurs Radio-Canada; des confessions sans ambages.
Toujours ce ton intime, le plus approprié ce coup-ci pour l’écrivaine aux pensées féministes […] La forme poétique s’avère quant à elle nécessaire pour se rapprocher de son monde intérieur.
– Claudia Larochelle, Les libraires
La mauvaise mère est une quête de sens nourrie d’évocations d’émotions, de troubles qui s’incarnent dans des anecdotes révélatrices des états d’âme de l’auteure. Elle ne triche pas, elle est là, entière, généreuse dans le partage, riche de sa vie qui, finalement, est celle d’une femme qui est aussi une mère, mais pas seulement une mère, ce qui rappelle le titre de son premier ouvrage, un collectif qu’elle a dirigé, Mother was not a person (1972).
– David Lonergan, Nuit blanche
C’est un livre qui nous rappelle que si on veut se survivre à nous-mêmes et comme société il faut faire face à la réalité, faire comme Marguerite Andersen le décrit « le bilan, le vrai, sans aucun embellissement », comprendre la vie pour se donner de meilleures chances de grandir individuellement et collectivement.
– Dominique Demers, Le Combat national des livres
Marguerite Andersen a pris tous les matériaux de sa propre vie et elle en a fait un chef-d’œuvre. Elle a fait une cathédrale avec ses matériaux de base. […] Tout le monde est une cathédrale, mais tout le monde n’est pas capable de la construire, de la raconter.
– Dominique Demers, Le Combat national des livres