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Sans jamais parler du vent, Film d’amour et de dépendance, Histoire de la maison qui brûle
France Daigle
Date : Avril 2013
Genre : Romans et récits
Collection : BCF
ISBN : 9782894232910
Pages : 383
Les trois premiers ouvrages de France Daigle, une écrivaine phare de la modernité acadienne, sont ici réédités dans la collection BCF (avec préface, choix de jugement, biobibliographie). La prose poétique dans ces œuvres laisse déjà deviner toute l’originalité de l’aventure romanesque qui se dessine et qui s’affirmera au cours des années.
«L’écriture de France Daigle explore de nouveaux terrains, déborde des cadres habituels et pose les jalons d’une œuvre qui, malgré les fortes influences durassiennes, ne manque pas d’intérêt et s’oriente hors des sentiers battus.» Stéphane Lépine, Nos livres, sur Film d’amour et de dépendance
«[S]es mots […] vont […] à la quête du souffle, le fouillent, le retiennent et le dirigent, de manière entendue, du côté de la modernité.» Anne-Marie Alonzo, La vie en rose sur Sans jamais parler du vent
Dans les médias
SANS JAMAIS PARLER DU VENT
France Daigle a une écriture solide et juste, ses mots n’entravent jamais le sens mais vont plutôt à la quête du souffle, le fouillent, le retiennent et le dirigent, de manière entendue, du côté de la modernité.
– Anne-Marie Alonzo, La Vie en rose, no 19.
France Daigle nous donne un livre fait au rythme de ces questions et de ces petits hasards, de ces mots nécessaires qui forment la trame des tensions de vivre. L’ouvrage est de qualité. Le style est séduisant et s’acharne à décrire « ces choses qui nous viennent à l’esprit, vers lesquelles tendre ».
– Claude Beausoleil, Nuit blanche.
FILM D'AMOUR ET DE DÉPENDANCE
L’écriture de France Daigle explore de nouveaux terrains, déborde des cadres habituels et pose les jalons d’une œuvre qui, malgré les fortes influences durassiennes, ne manque pas d’intérêt et s’oriente hors des sentiers battus.
– Stéphane Lépine, Nos livres.
Et c’est dans cette alternance des styles, dans cette vocation multiple que le texte de Daigle est le plus intéressant. Si l’histoire de ce livre reste fuyante, son écriture adhère à son propos, suit les variations continues d’une tension qu’une écriture parfois sobre et percutante réussit à retenir. »
– Hugues Corriveau, Estuaire.
HISTOIRE DE LA MAISON QUI BRULE
Toutes les tensions, les hésitations du premier livre ont disparu dans Histoire de la maison qui brûle, qui n’est plus la quête d’une écriture, mais sa découverte.[…] La solitude omniprésente dans la première œuvre est alors vaincue tandis que la page de droite dialogue avec la page de gauche confondant passé et présent afin que naisse le message absolu de la nouvelle parole silencieuse.
– Josette Déléas-Matthews, Atlantis.