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Paroles du Nouvel-Ontario

Paroles du Nouvel-Ontario, c’est le balado franco-ontarien qui cultive l’écoute.

La première saison vous invite à rencontrer huit femmes, originaires du Nord de l’Ontario, âgées entre 65 et 100 ans, qui ont une vie entière à raconter. Dans chaque épisode, une thématique est explorée à travers les souvenirs d’une femme, joignant l’anecdotique à l’historique. Quelles époques ont-elles traversées ? Quels défis ont-elles relevés ? Qu’ont-elles à partager ? De leur mémoire à vos oreilles.

Production : Éditions Prise de parole et Laboratoire de recherche sur la mémoire de Pierrot Ross-Tremblay
Réalisation : Maude Bourassa Francoeur
Narration : Maude Bourassa Francoeur
Musique : Kevin MacLeod : Comfortable Mystery 2 Film Noire / Puddle of Infinity : Little Drunk Quiet Float

La trappe

Fière trappeuse, Carmen Cotnoir pourrait parler pendant des heures de sa passion pour cette activité bien ancrée dans le Nord de l’Ontario. Elle nous raconte son parcours en tant que femme dans ce monde habituellement réservé aux hommes, ainsi que les préjugés actuels à l’égard de cette pratique pourtant bien ancrée dans la tradition et qui a su évoluer.

La noyade

Bien installée dans la maison où elle a grandi, Florence Legault, âgée de 80 ans, nous raconte la vie de son village de River Valley, et l’entraide bien tangible de sa communauté lorsque le drame frappait. Avec émotion, elle se souvient de cette époque où leur porte n’était jamais verrouillée, la maison familiale étant toujours prête à accueillir les étrangers.

La grande famille

Accompagnée de sa nièce Carole Lafrenière, Lucienne Poitras offre ses réflexions sur les moments de sa vie, sur la famille, de son enfance à aujourd’hui. De la vie conjugale à l’éducation de ses 14 enfants, Lucienne se confie avec le sourire sur ce qui fait sa fierté.

À table

Élevée sur une ferme, Léonie St-Jean Gareau se remémore avec joie les traditions culinaires qu’apportaient chaque saison. Grâce aux produits du jardin, de l’élevage, de la chasse et de la cueillette, son garde-manger était toujours plein pour le plus grand bonheur de ses papilles et de celles de sa famille.

L’école normale

Avant la création des écoles secondaires de langue française, les Franco-Ontariennes désirant devenir enseignante devaient se rendre à l’École normale d’Ottawa où elles résidaient pendant la majeure partie de l’année. Florence Legault a suivi ce parcours, comme plusieurs autres femmes, et elle y a fait la rencontre d’une amie pour la vie.

L’île aux moutons

L’île-aux-Chênes, située sur le lac Nipissing, a accueilli durant les années 30 et 40 le troupeau de moutons de la famille de Léonie St-Jean Gareau. Celle-ci, maintenant âgée de 95 ans, raconte une des escapades quotidiennes à bord du canot qui les menait, elle et son père, au cheptel, témoignant par la même occasion des activités économiques des agriculteurs de cette époque.

Le ménage

Raymonde Champagne Gaudette raconte comment un simple ménage de printemps se transformera en leçon de vie. Épisode cocasse… au cours duquel des flacons s’amusent à changer de nom…

L’école de rang : d’élève à enseignante

Rachel Binette raconte son passage dans plusieurs écoles de campagne, d’abord en tant qu’élève puis comme enseignante. Originaire de Desaulnier, petit village du Nouvel-Ontario, elle a eu le privilège d’aller à l’école, ce qui n’était pas donné à toutes et à tous.

L’école anglaise

À une époque où les relations entre Anglophones et Francophones étaient tendues, Léonie St-Jean Gareau a fréquenté exceptionnellement, pendant un an, l’école de rang en anglais, tout comme l’avait fait sa mère avant elle. Elle raconte les avantages qu’elle a su en tirer et la peur de l’Autre qu’elle n’a pas connue.

Le magasin général

Durant 75 ans, la vie au village de River Valley a été animée par le magasin général Giroux. Denise Giroux, maintenant retraitée, raconte comment elle en est venue à acquérir ce commerce, lieu privilégié pour sentir battre le pouls de cette petite communauté.

La ferme

Élevée sur une ferme à Desaulniers, Rachel Binette se remémore les travaux agricoles qui ont ponctué son enfance. Elle décrit comment, malgré les nombreuses tâches, l’ambiance familiale était toujours à la fête.

La crise scolaire de Sturgeon Falls

Dans les années 70 et 80, les Franco-Ontariens ont lutté pour l’obtention d’écoles secondaires de langue française. Une de ces luttes, la première, a eu lieu à Sturgeon Falls. Denise Giroux, l’une des actrices de ce combat, membre du comité de coordination, partage ici son expérience de militante. Cinquante ans après, qu’y a-t-il à apprendre de cette victoire ?

Les contes

Avec fougue et passion, Carmen Cotnoir relate deux contes qui ont bercé sont enfance. Aujourd’hui grand-mère, elle transmet à son tour ces pépites du folklore franco-ontarien.

La ville

Denyse Aubin, originaire de Sudbury, raconte ici des souvenirs de son enfance et de son adolescence dans cette ville qui a énormément changé en quelques décennies. En décrivant le fonctionnement de son noyau familial, elle trace un portrait des valeurs qui structuraient la société il y a 50 ans.

L’entraide des femmes

Entre le début du XXe siècle et la fin de la Deuxième guerre mondiale, beaucoup de choses ont changé pour les femmes. Née en 1938, Florence Legault nous offre ses réflexions sur les occasions et les difficultés qu’elle a vécues, tant en lien avec sa carrière que dans sa vie familiale, et elle nous parle des femmes qui l’ont influencée.

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